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(NOM COMPLET) Leonard Ryan Kingsley. (ÂGE) 37 ans. (STATUT CIVIL) Célibataire. (NATIONALITÉ) Anglais. (MÉTIER) Infirmier pédiatre. (DATE DE NAISSANCE) 14 janvier 1982. (LIEU DE NAISSANCE) Portsmouth. (SITUATION FINANCIÈRE) £££. (COPYRIGHT) fiche (moonshadow), icons (tumblr).

› Gamin, c'était un rêveur. La tête dans les étoiles, imaginant mille et une choses. Imagination fertile, il la tient de son père, dessinateur de BD de profession. Sa mère, elle, elle avait les idées claires, la tête sur les épaules contrairement à son mari et son premier fils tête en l'air, avocate, elle n'avait pas d'autre choix que de se montrer stricte. Particulièrement quand le reste de la fratrie Kingsley s'est pointée faisant un total de sept enfants. Leonard étant le plus grand, très vite, il dû apprendre à être sérieux, patient et attentif. Effectivement, avec cette famille grandissante, le père de famille a été contraint de trouvé un métier plus stable, lui permettant de meilleurs revenus. C'est ainsi qu'il s'est retrouvé à s'occuper de la comptabilité d'une chaîne de restaurant célèbre. C'est à partir de ce moment-là que Leonard a appris le sens du mot concession. Concession qu'il a appliqué plus tard, adolescent. A l'opposé de ses amis qui pouvaient se permettre de sortir en soirée, de faire la fête jusqu'à pas d'heures, Leonard a été contraint de s'occuper de ses frères et sœurs et ainsi dire de les élever, tentant de composer le manque de leurs parents et l'absence sur laquelle il n'avait aucun pouvoir, malheureusement. Avec une famille aussi nombreuse, ils n'avaient d'autre choix que de se démener au travail pour que les sept enfants Kingsley puissent avoir tout ce dont ils ont besoin et tout ce qu'ils voulaient. Le manque, bien sûr, au fur et à mesure, il s'est forgé mais Leonard, créatif et malin s'est toujours débrouillé pour que ce manque soit moindre. Il faisait toute sorte d'activités avec ses frangins. Il est devenu très jeune l'un des adultes de la famille, c'est vrai, se forgeant ainsi une grande maturité jeune.
› A défaut de ne pas être un grand fêtard et cela malgré qu'il ait été un élève très apprécié et populaire dans tous les établissements scolaires dans lesquels il s'est rendu, il était assidu, sérieux dans ses cours. Cela même si son inspiration n'était pas d'être infirmier, ce qu'il est aujourd'hui. Non, Leonard voulait voyager, découvrir et plus encore, faire découvrir. Il avait comme plan avec ses plus proches et aventureux amis de partir à la découverte de l'Europe, de faire un reportage, de l'envoyer à une chaîne de télévision et de voir ce qui se passerait. Pour lui, ces études, ce n'était que simplement et purement rendre ses parents heureux et pour qu'il se sente méritant et intelligent mais ça ne l'aiderait pas pour ce qu'il voulait faire plus tard, son métier rêvé ; explorateur. Un projet qui s'est tenu. A la fin du lycée, après s'être assuré que toute sa famille pourrait s'en sortir sans lui, il a pris son gros sac de voyage et est parti à la découverte de l'Europe, de ses montagnes, forêts, plages, de ses déserts. Au bout de deux ans, ils terminent cette exploration par la France, terminant fièrement leur reportage. Mais tandis que ses amis sont repartis à Portsmouth pour terminer ce projet et l'amener jusqu'au bout, Leonard est resté en France pendant deux années.
› La raison ? Une française, amatrice de ski, rencontrée lors d'une de leur expédition au Mont-Blanc. Véritable sauveuse ; les ayant aider à retrouver leur chemin et surtout un endroit où se nourrir. Un seul regard et Leonard était d'ores et déjà complètement dingue d'elle. Une demoiselle à peine plus jeune que lui mais mille fois plus intéressante, un sourire à tomber, des yeux pétillants, une chevelure dont on pouvait devenir la douceur rien qu'à la vue, un rire communicatif, innocent. Lui et ses amis sont restés quelques mois en France pour finaliser leur projet et, de la sorte, il s'est rapproché de cette belle française de sorte à ne plus vouloir partir de la France, laissant ses amis assuré la fin du projet seuls. Une décision que ses amis ont, étonnement, bien pris. Après avoir passé toute sa vie jusque là à faire passer les autres avant lui, qu'il le fasse était amplement mérité. C'est ainsi qu'il est resté deux ans en France avant de repartir à Portsmouth.
› Le retour à Portsmouth a été fait en catastrophe, il a tout laissé tomber en France du jour au lendemain. Urgence familiale y oblige. Effectivement, alors que son petit-frère n'avait que 17 ans, il a été appelé par la plus âgée des sœurs Kingsley pour le prévenir de l'overdose qui a failli coûter la vie au quatrième de la famille. Cela a été choqué pour cette famille qui se pensait proche, suffisamment proche pour se confier des choses de la sorte. A partir de ce moment-là, Leonard a mis sa vie entre parenthèse, prenant le temps de s'occuper de son petit-frère, le surprotégeant, étant sur son dos à toutes les occasions. C'est après une longue et interminable discussion avec sa famille qu'il a décidé de reprendre ses études. C'est en médecine que son choix s'est porté, un peu au hasard. Il s'est fié à cette facilité qu'il a avec les enfants.
› A l'école de médecine, il s'est énormément concentré, toujours un bon élève, studieux, sérieux. Cependant, il prenait toujours soin de faire très attention à ses frangins, les surveillait tous du coin de l'œil. Une attitude surprotectrice qui a eu le don de fatiguer et d'exaspérer sa famille et qui a réussi à se débarrasser de lui, le faisant quitter la maison et vivre avec ses amis qu'il avait abandonné en France. Amis qui se retrouvaient à travailler pour la chaîne et plus précisément la production de National Geographic. Lui, de son côté, il avait pour but de devenir chirurgien pédiatre mais c'était sans compter sur sa première année qui l'a vite désisté, le lien avec les patients n'étant, à son humble avis, moindre et peu profond. On lui alors confié que le métier d'infirmier est bien plus intense qu'on le pense. Ainsi, il a suivi cette voie, devenant ainsi un infirmer pédiatrique, l'un des plus appréciés de l'hôpital, se faisant très rapidement une excellente réputation prenant, toutefois, parfois, les choses bien trop personnellement.
› Sa collocation avec ses amis ont duré pendant très, très longtemps. Elle s'est arrêtée il y a un an, quand ses amis ont fini par avoir tous des enfants, des relations stables et sérieuses, tandis que lui, s'il avait presque réussi à avoir une relation digne de ce nom, elle s'est achevée chaotiquement. Ainsi, il a été littéralement viré de l'appartement. Forte heureusement, il a pu compter sur l'héritage de ses grands-parents et surtout une maison, trop grande pour lui seul, à quelques kilomètres de son lieu de travail, l'hôpital. C'est là qu'il propose une colocation, à nouveau, et que cette maison se retrouve rapidement remplie par des collègues dont il ne connaissait rien auparavant et dont il connaît bien trop, dorénavant. {FICHE}